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La médecine chinoise m'apprend à vivre | Commentaires des fans

Par tianke  •  0 commentaire  •   4 lecture en une minute

Chinese medicine teaches me how to live | Fan feedback
Dans les romans anciens, lorsqu'on décrit la naissance d'un héros, on dépeint souvent des visions, comme des nuages ​​pourpres dans le ciel, une lumière dorée qui l'illumine, ou une naissance dans un vase de jade. En imaginant ma propre naissance, j'y ai ajouté des touches de mystère, comme le parfum des plantes médicinales qui embaumait la pièce. Mes parents étant médecins, la médecine chinoise a fait partie intégrante de ma vie depuis ma naissance et m'accompagne encore aujourd'hui. Je me suis souvent demandé pourquoi j'étais né dans une famille où mes deux parents étaient médecins. Était-ce parce que j'étais fragile et malade enfant, et que Dieu l'avait voulu ainsi par crainte d'une mort prématurée ? À ce jour, je ne connais pas le dessein de Dieu, mais je prends de plus en plus conscience de l'influence de cet environnement familial et de la médecine chinoise sur moi. Ces influences touchent à ma vision du monde, à ma façon d'appréhender les choses, façonnent mon caractère et déterminent même qui je deviendrai.

Quand j'étais enfant, mon père aimait me faire lire debout, et tous les livres que je lisais étaient des ouvrages médicaux. Celui qui m'a le plus marqué était « Le médecin miracle voit les médecins ainsi ». Aujourd'hui, j'ai oublié le contenu du livre, et j'ai oublié qui étaient ces médecins miraculeux, comment ils soignaient leurs patients. Seules quelques ombres illusoires subsistent dans cette vague impression, mais elles dessinent ensemble l'image d'un médecin, plus précisément, celle d'un médecin d'antan. Ils étudient avec acharnement, acquièrent des compétences avec diligence, traitent autrui avec équité et servent le monde avec dévouement. Ils sont aussi nobles que des érudits-fonctionnaires, mais sans prétention. En cela, le médecin est aussi un saint. Influencé par ces modèles, il m'est difficile de devenir un être égoïste, sinistre et perfide. En grandissant et en approfondissant mes connaissances, ma compréhension de cette question s'est enrichie. Quel genre de milieu social peut engendrer des hommes de bien et des sages ? Quel genre de milieu social peut engendrer le peuple chinois d'aujourd'hui, un peuple qui, à mon avis, n'a pas hérité ni perpétué les belles traditions de ses ancêtres ? Nous ne naissons pas ainsi, nous le devenons. La question est : pourquoi le devenons-nous ?

Pendant les vacances d'hiver, j'ai écouté les conférences du Dr Luo sur le « Tao Te Ching », l'enregistrement audio du diagnostic par la langue, j'ai suivi le cours vidéo en ligne sur les connaissances de base de la médecine traditionnelle chinoise, en complément du livre « Le Royaume des bébés géants », et la réponse a lentement émergé dans mon cœur.

J'entends souvent dire : « Soit tu te démarques, soit tu es éliminé. » J'entends souvent des parents dire à leurs enfants de « gagner dès le départ ». Influencés par cette vision, les enfants nés après 1990 n'ont pas encore pris les rênes du développement économique. Premiers à souffrir de calvitie, ces enfants, tels des abeilles butineuses, s'activent entre les cours et les ateliers, mais ont-ils vraiment récolté le miel ? Ressentent-ils vraiment la joie d'apprendre ? La vie n'est-elle pas, comme on le prétend, une compétition féroce, une course effrénée pour rattraper les autres ? Mais si l'on est constamment occupé à surpasser les autres, quand trouvera-t-on le temps d'être soi-même ? Une personne soumise à la loi du plus fort peut-elle se recentrer et consacrer sa vie à exceller dans un domaine ?

La médecine chinoise le considère comme tel. La vie d'une personne s'apparente à une sphère d'énergie. Elle stocke son énergie en hiver et la mobilise en été. La vigueur de l'être humain s'explique par l'accumulation constante d'énergie dans son corps, cette sphère grossissant sans cesse. À l'inverse, le vieillissement, le teint terne et la santé déclinante sont dus à la diminution de cette sphère et à l'insuffisance d'énergie dans le corps. En cas de manque d'énergie, l'être humain est naturellement porté vers le déclin.

La vie est un processus d'accumulation et de consommation d'énergie.Rester éveillé tard, rester assis sans bouger pendant des heures, privilégier le style au confort… Ces comportements prouvent que nos habitudes quotidiennes consomment plus d'énergie qu'elles n'en accumulent. Nous savons tous au fond de nous que ces comportements sont néfastes, mais nous refusons de les changer malgré les avertissements répétés. Si nous le faisons, nous reproduirons les mêmes erreurs. La raison en est notre méconnaissance des soins de santé : nous ignorons que chaque acte d'obstination peut engendrer la maladie. Comme le disait Ji Kang : « Un mari est comme une récolte sous la dynastie Tang : ceux qui ne reçoivent qu'une seule irrigation finissent par mourir, tandis que ceux qui la subissent se dessèchent. Pourtant, on ne saurait nier les bienfaits d'une seule irrigation. On dit souvent qu'une colère passagère est inoffensive, qu'une tristesse passagère est inoffensive, et que l'on est léger et incontrôlé, ignorant ainsi les bienfaits de l'arrosage. On espère alors une bonne récolte dans des semis desséchés. » Peu à peu, nous devenons les personnages du « Royaume des Enfants Géants ». Les personnes « rabougries » décrites sont desséchées, tant physiquement que mentalement.

Il existe d'innombrables façons de vivre, et je préfère celle que m'enseigne la médecine chinoise.
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