Cai Shangda (médecin-chef du Centre du sein de l'hôpital adventiste de Tai) : Le cancer du sein tue des femmes depuis le XXe siècle. À la fin de ce siècle, les scientifiques ont commencé à se consacrer à la recherche de moyens de le prévenir. Le tamoxifène, médicament bien connu, est utilisé non seulement pour prévenir la récidive du cancer du sein chez les patientes, mais aussi chez les femmes à haut risque. Concernant d'autres médicaments, comme l'Arimidex ou les rétinoïdes, leur utilisation reste controversée, car leur innocuité à long terme n'a pas encore été évaluée. (Ces experts ignorent comment le cancer du sein se développe et comment peuvent-ils le prévenir ? J'ai de nombreuses patientes qui prennent ce médicament et plus elles en prennent, plus elles ont froid aux pieds, leurs règles sont irrégulières et elles souffrent d'insomnie. Je suis convaincue que ce médicament ne prévient absolument pas le cancer du sein.)
Outre la recherche et le développement d'un vaccin contre le cancer du sein, si l'on veut parler de prévention de ce cancer, il faut d'abord comprendre ses facteurs de risque. Parmi les facteurs de risque connus, on retrouve les antécédents familiaux, la prédisposition génétique, l'âge de la ménopause, le poids corporel, le type d'alimentation, la consommation d'alcool, l'activité physique et, potentiellement, la prise d'antibiotiques. (Hélas, ils sont passés à côté du sujet, car ils ignorent comment le cancer du sein se développe ? Une des affirmations est juste concernant les antibiotiques, qui sont très nocifs pour le cœur.)
Les femmes ayant pris des médicaments comme les œstrogènes sont plus susceptibles de développer un cancer du sein que les autres femmes. Des scientifiques avancent même une hypothèse surprenante : avant la première grossesse, le tissu mammaire des femmes serait particulièrement sensible aux substances cancérigènes présentes dans l’environnement. Il apparaît donc que pour prévenir le cancer du sein, il faut tenir compte à la fois des facteurs externes, comme l’environnement, et des facteurs internes, comme l’alimentation et l’exercice physique. (Cette hypothèse surprenante relève d’une pensée fondamentalement naïve, voire absurde.)
Concernant les médicaments contre le cancer du sein, la découverte des inhibiteurs de la protéine COX-2 est un événement prometteur. La protéine COX-2 est présente dans moins de la moitié des tissus cancéreux du sein chez les patientes. Elle peut stimuler la croissance des cellules cancéreuses et la prolifération des vaisseaux sanguins, et est donc liée à l'expansion des tissus tumoraux. (Décrire cet événement prometteur revient à parler et à chanter, c'est aller complètement à côté de la plaque.)
Les protéines COX-2 sont d'excellentes cibles pour la chimioprévention du cancer. L'utilisation prolongée d'analgésiques non stéroïdiens et d'anti-inflammatoires, inhibiteurs classiques de la COX-2, peut entraîner des effets secondaires gastriques graves. Les inhibiteurs sélectifs de la COX-2 sont non seulement plus sûrs, mais permettent également une prévention à long terme du cancer du sein. (La médecine occidentale ignore toujours l'origine du cancer du sein ? Cet article est donc absurde.)
Commentaire
Les lectrices qui abordent les causes du cancer du sein peuvent consulter mon article ; c’est très clair. Mesdames, souvenez-vous : ne prenez aucun médicament occidental, aucune vitamine, ne vous faites pas vacciner et ne passez pas les examens médicaux prescrits par la médecine occidentale. C’est inutile. Comment le prouver ? C’est très simple : prenons les États-Unis comme exemple, où le nombre de décès de femmes par cancer du sein est le deuxième plus élevé du pays. Ce chiffre prouve que la médecine occidentale ne peut ni prévenir ni traiter ce cancer. Mon article précédent, qui traitait également des vaccins contre le cancer du sein, m’a vraiment fait peur.
Conclusion : Veuillez consulter ma thèse sur le cancer du sein.