Le Viracept, médicament de première intention contre le sida produit par Roche Pharmaceuticals, a été contaminé chimiquement par des matières premières. Le laboratoire suisse Roche Pharmaceuticals a annoncé le 6 qu'il allait le retirer du marché européen et de la plupart des pays du monde. (Chers lecteurs, voyez à quel point la production pharmaceutique occidentale est défaillante ! Que faire si un patient a consommé ce médicament avant le rappel ? Aucun moyen de remédier à la situation ni aucune compensation n'est proposé.)
Roche Pharmaceuticals a publié un communiqué déclarant : « Roche Pharmaceuticals a procédé au rappel intégral de tous les lots de poudre et de comprimés de Veracet en Europe et dans d’autres régions du monde. » Le communiqué précisait toutefois que les États-Unis, le Canada et le Japon n’étaient pas concernés par ce rappel. (Ce type de médicament dangereux est un véritable fléau. Non seulement il est totalement inefficace, mais il peut entraîner des décès prématurés.)
Cai Chaozheng, porte-parole du laboratoire taïwanais Roche Pharmaceuticals, a déclaré que les comprimés pelliculés ayant fait l'objet d'une demande d'autorisation de mise sur le marché auprès du ministère de la Santé en septembre dernier étaient concernés. 1 091 flacons (près de 300 000 comprimés) ont été vendus à 24 hôpitaux en Chine. L'usine pharmaceutique a immédiatement informé les hôpitaux afin qu'ils procèdent au rappel de tous les lots. (Ce médicament présente un problème. Vous auriez dû le savoir avant sa sortie d'usine. Maintenant qu'il est recyclé, les lecteurs vont en constater la gravité.)
Le laboratoire taïwanais Roche Pharmaceuticals a également rappelé aux patients concernés qu'ils devaient discuter avec leur médecin du choix de médicaments alternatifs appropriés afin d'assurer la continuité de leur traitement. (Que signifie cette promesse de continuité ? Ils cherchent encore à instrumentaliser ce fléau pour améliorer leur propre statut social, ce qui est vraiment déplorable.)
L'Union européenne a annoncé le 6 juin que plusieurs lots de Viracept (médicament antirétroviral de 250 mg) étaient contaminés par du méthanesulfonate d'éthyle, une substance génotoxique susceptible d'endommager l'ADN. Roche a rappelé le médicament contaminé, qui pourrait présenter un risque de cancer. (Les lecteurs ont constaté que tous les fabricants ont admis que la prise de ce médicament provoque le cancer ; comment indemniser les patients qui l'ont déjà consommé ?)
Cai Chaozheng a indiqué qu'avant l'année dernière, Veraset produisait des comprimés nus. Ce n'est qu'en septembre dernier qu'une demande d'autorisation de mise sur le marché a été déposée pour le nouveau comprimé pelliculé de 250 mg. Ce médicament est principalement utilisé pour traiter les patients adultes et enfants infectés par le VIH-1.
Commentaire
Chers lecteurs, n'oubliez pas que le SIDA n'est pas mortel en soi, et que sa cause est liée à l'industrie pharmaceutique occidentale. Le vaccin contre la polio, fabriqué par cette même industrie, contenait le virus VIS, provenant du rein du singe vert africain. À l'époque, ce virus était inconnu. Il est présent depuis longtemps dans les reins des singes, avec lesquels il vit en symbiose et qui est inoffensif pour eux. Par conséquent, le virus VIS a été injecté à l'homme en même temps que le vaccin contre la polio. Plus tard, la présence du virus VIS dans l'organisme humain a été constatée, et une enquête a été menée pour remonter à la source. Il s'est avéré que c'était leur négligence qui avait permis à ce virus, initialement présent uniquement dans les reins des singes, de pénétrer dans le corps humain, provoquant l'infection par le VIS. Mais l'industrie pharmaceutique occidentale a refusé d'admettre sa responsabilité et a inventé un autre nom pour la maladie : le VIH. Le VIH est donc le VIS. Ce nouveau nom a alimenté de nouvelles recherches et développements en médecine occidentale. Cette méthode permettrait non seulement d'éradiquer le crime, mais aussi de s'enrichir malhonnêtement. Tel est le vœu pieux des laboratoires pharmaceutiques occidentaux.
Le sida peut se guérir sans médicaments et la maladie guérit spontanément, mais comment les malades peuvent-ils le comprendre ? Alors, ils continuent de se faire connaître du grand public et utilisent la stigmatisation pour effrayer la population, et les personnes ignorantes sont punies.À leur merci, les effets secondaires des médicaments anti-VIH fabriqués par les laboratoires pharmaceutiques occidentaux sont le cancer et l'affaiblissement du système immunitaire, ce qui raccourcit l'espérance de vie et rend la mort très douloureuse. Il est temps que les lecteurs ouvrent les yeux et cessent de se laisser berner. Votre hygiène est inadmissible ! L'administration est de mèche avec les laboratoires pharmaceutiques occidentaux depuis longtemps ; il s'agit d'un groupe aux intérêts symbiotiques qui ne se soucie guère de la vie et de la mort des citoyens. C'est vraiment scandaleux.
La conclusion est sans appel : une erreur involontaire commise par une usine pharmaceutique occidentale. Pour la dissimuler, ils ont inventé de toutes pièces le nom d'une maladie, transformant ainsi leur erreur initiale en une contribution positive, et créant ainsi une maladie totalement inefficace et mortelle. Par pur appât du gain, cette usine pharmaceutique occidentale est prête à bafouer les lois de la nature. Les éliminer, c'est rendre justice à la nature ; il est donc impératif de les éliminer, sinon d'innombrables personnes continueront de souffrir.