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Facteurs affectant les résultats de la surveillance de la glycémie à jeun

Par tianke  •  0 commentaire  •   5 lecture en une minute

Factors affecting fasting blood glucose monitoring results
La glycémie à jeun correspond à la glycémie mesurée après un jeûne de 8 à 12 heures, c'est-à-dire la glycémie à jeun le matin. La glycémie avant le déjeuner et le dîner n'est pas prise en compte. Il est préférable de mesurer sa glycémie à jeun entre 6 h et 8 h du matin. Il est conseillé de ne pas prendre de médicaments antidiabétiques, de ne pas prendre de petit-déjeuner et de ne pas faire d'exercice physique avant le test. Cela permet de limiter les facteurs d'influence et d'obtenir une mesure plus fidèle.

Cependant, en pratique clinique, nous constatons souvent que les résultats de glycémie à jeun de certains patients sont erronés et ne reflètent pas leur glycémie réelle, y compris chez les patients qui effectuent une autosurveillance à domicile ou qui se rendent à l'hôpital pour une prise de sang. Il est important de connaître les facteurs susceptibles d'induire des résultats de glycémie à jeun erronés.

1. Facteurs alimentaires : Consommer une grande quantité d’aliments difficiles à digérer le soir, ou dîner trop tard (ce qui réduit la durée du jeûne à moins de 8 heures), peut entraîner une hyperglycémie à jeun le lendemain matin. De plus, afin d’obtenir de meilleurs résultats, certains patients réduisent volontairement leur consommation d’aliments de base la veille de l’examen, ce qui abaisse la glycémie à jeun. Par conséquent, pour garantir la fiabilité de la glycémie à jeun le lendemain matin, il est essentiel de dîner normalement.

2. Facteur horaire : La mesure de la glycémie à jeun doit être effectuée avant 8 h. Or, il arrive fréquemment que, pour consulter un médecin, de nombreux patients se rendent à l'hôpital sans avoir mangé ni bu le matin, puis s'inscrivent pour leur rendez-vous. Ils doivent souvent attendre jusqu'à 9 h ou 10 h pour leur consultation. Bien que le patient soit à jeun à ce moment-là, en raison de l'influence de l'horloge biologique, le taux de glucagon augmente progressivement après 8 h. Même sans avoir mangé, la glycémie augmente en conséquence. Par conséquent, la mesure effectuée à ce moment-là ne reflète plus la glycémie à jeun réelle, mais une glycémie aléatoire. De plus, certains patients parcourent une distance relativement longue pour se rendre à l'hôpital, ce qui peut entraîner une glycémie plus basse que d'habitude. Si le temps d'attente est trop long, ou si l'humeur est mauvaise ou émotive, la glycémie peut à nouveau baisser, voire remonter. Chez les patients atteints de diabète de type 1, tout retard ou non de l'injection d'insuline du matin entraîne une augmentation significative de la glycémie. La glycémie mesurée dans ces situations ne correspond pas à la glycémie à jeun réelle. Il est donc recommandé aux patients d'effectuer un test de glycémie à jeun à domicile ou dans un centre de santé communautaire proche, de manger, de prendre leurs médicaments ou de s'injecter de l'insuline avant de se rendre à l'hôpital pour un traitement.

3. Facteurs liés à l'exercice : Un exercice matinal inadapté est une cause fréquente de perturbation de la glycémie à jeun. Par conséquent, lorsqu'on demande un contrôle de la glycémie à jeun, il est préférable de le faire avant tout exercice matinal. La glycémie diminuant généralement après l'effort, une augmentation observée peut être due à une légère hypoglycémie pendant l'exercice. L'hypoglycémie peut entraîner une hyperglycémie réactionnelle, rendant les résultats de glycémie à jeun irréalistes. De nombreuses personnes préfèrent faire leur exercice matinal avant de prendre leur petit-déjeuner. Cette approche est déconseillée et peut facilement provoquer une hypoglycémie. Il est préférable de manger quelque chose avant l'exercice matinal. Lors d'un exercice matinal, il est important de contrôler sa glycémie avant et après l'effort afin de déterminer la durée d'exercice appropriée.

4. Facteurs médicamenteux : Les médicaments constituent un facteur important influençant la glycémie à jeun. Une dose d’insuline trop élevée le soir peut entraîner un syndrome de Sumuji et une hyperglycémie à jeun anormalement élevée le matin.De plus, si certains patients constatent une hyperglycémie à jeun, ils réduisent volontairement leur petit-déjeuner ou prennent des médicaments hypoglycémiants supplémentaires au moment des repas. Leur glycémie à jeun sera alors supérieure à celle mesurée deux heures après le petit-déjeuner. Certains patients prennent également des produits de santé contenant des hypoglycémiants, ce qui peut aussi influencer la glycémie à jeun ou postprandiale.

5. Facteurs liés au sommeil. Des scientifiques américains divisent la durée quotidienne du sommeil en trois catégories : sommeil &moins de 6 heures, dormir entre 6 et 8 heures, dormir &>8 heures, et observer l'impact du temps de sommeil sur la glycémie. Au cours de cette étude de six ans, il a été constaté que ceux qui dormaient plus de 8 heures &Les personnes dormant moins de 6 heures par jour présentaient une glycémie 4,56 fois supérieure à celle des personnes dormant entre 6 et 8 heures. Aucune différence n'a été observée entre celles qui dormaient moins de 6 heures par jour et celles qui dormaient entre 6 et 8 heures. &Les personnes qui dorment plus de 8 heures et celles qui dorment entre 6 et 8 heures présentent des variations importantes. On constate que les patients diabétiques qui dorment moins de 6 heures par nuit sont susceptibles de présenter une glycémie à jeun anormale. Pour obtenir une mesure fiable de la glycémie à jeun, il est essentiel de bien dormir la nuit précédente.

6. Facteurs de stress : une mauvaise humeur récente, l’anxiété, la dépression, l’insomnie et les rêves agités peuvent entraîner une glycémie à jeun plus élevée que d’habitude, ne reflétant pas l’effet réel du médicament ni l’état du patient. De plus, en cas d’infection aiguë ou de traumatisme, le stress provoque souvent une hyperglycémie. Certains patients souffrent de gastro-entérite, de nausées et de vomissements, sont incapables de s’alimenter et interrompent leur traitement. D’autres pensent qu’ils n’ont pas besoin de s’injecter de l’insuline s’ils ne mangent pas, ce qui peut conduire à une hyperglycémie sévère… Dans ces cas, la glycémie à jeun mesurée ne reflète pas la situation réelle. Il est préférable de traiter la glycémie à jeun de manière symptomatique plutôt que d’ajuster la posologie des antidiabétiques.

7. Méthodes de surveillance et facteurs liés au lecteur de glycémie : Il s’agit d’un facteur très courant qui influence la fiabilité de la glycémie à jeun, et nous l’évoquons fréquemment. Une mauvaise utilisation du lecteur de glycémie par les personnes diabétiques, un lecteur non conforme ou non calibré depuis longtemps, des bandelettes de test périmées ou humides, etc., peuvent fausser les résultats.
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