Le Guardian de Londres rapportait le 6 que Bernardino Ramazzini, fondateur de la médecine du travail italienne, avait découvert au début du XVIIIe siècle que les religieuses étaient plus susceptibles de mourir d'un cancer du sein que les femmes exerçant d'autres professions. Depuis, les preuves de l'effet protecteur de la maternité et de l'allaitement des nourrissons et des jeunes enfants n'ont cessé d'apparaître. (Ceci est parfaitement conforme à la théorie de la médecine chinoise selon laquelle le yin isolé et le yang isolé ne croissent pas.)
Dans les années 1920, la médecin britannique Janet Lane-Claypon a mené les premières enquêtes épidémiologiques pour le ministère britannique de la Santé et a découvert que le cancer du sein était lié au nombre d'enfants qu'une femme avait eus, à l'allaitement, à la première grossesse et à l'âge de la ménopause.
La communauté scientifique débat encore de l'importance relative de ces facteurs. Les résultats de l'étude « Million Women », menée par Valérie Beral, un groupe d'épidémiologie clinique de l'Université d'Oxford, sont assez concluants. Cette étude a révélé que les femmes ayant accouché pour la première fois jeunes étaient mieux protégées, atteignaient la puberté plus tard et la ménopause plus tôt. Par ailleurs, le risque de cancer du sein est relativement plus élevé chez les femmes de grande taille et de forte corpulence. (La grande taille s'explique par l'absence d'accumulation de lait, tandis que la corpulence, plus robuste, produit naturellement plus de lait, ce qui favorise le développement d'un cancer du sein.)
Les principaux facteurs de protection sont le nombre d'enfants et la durée de l'allaitement. Chaque accouchement réduit en moyenne de 7 % le risque de cancer du sein, et chaque année d'allaitement le diminue de 4 % supplémentaires. La recherche sur le cancer se concentre souvent sur les traitements plutôt que sur la prévention. De nombreux médicaments ont permis de réduire efficacement la mortalité féminine liée au cancer, mais les traitements sont souvent éprouvants. (On explique ici que le cancer du sein est lié à l'accumulation de lait ancien dans les seins. Après l'accouchement et l'allaitement, le lait est naturellement renouvelé en grande quantité, ce qui réduit l'accumulation de lait ancien et, par conséquent, le risque de cancer du sein.)
La médecine chinoise est la bonne médecine
Je dis souvent à mes étudiants que tant que leur compréhension du sujet est juste, il est souvent facile de guérir la maladie. La médecine occidentale ignore encore les causes du cancer du sein. Par conséquent, non seulement elle ne peut pas le traiter, mais elle ne sait évidemment pas non plus comment le prévenir. La médecine traditionnelle chinoise est obsolète. Les médecins occidentaux qui débitent des inepties n'ont aucune idée des bienfaits de la véritable médecine chinoise. Ils s'y opposent par simple esprit de contradiction. On trouve de tels charlatans partout. Ne vous inquiétez pas de la médecine occidentale, car ce que vous avez appris est la médecine véritable et correcte. Vous seuls pouvez réellement guérir la maladie et savoir comment la prévenir. Ce constat est tout à fait juste, ma sœur. Comme elles sont de nature yin isolée et n'ont pas de coordination avec le yang, la production de lait dans leurs seins chaque mois est naturellement plus importante que chez les femmes mariées ayant déjà accouché. Il est donc normal qu'elles soient plus susceptibles de développer un cancer du sein à long terme. Conformément à la théorie de la médecine traditionnelle chinoise, je dis souvent que le mari joue un rôle très important dans le développement du cancer du sein chez les femmes. Si le mari n'aime pas sa femme, la dépression de cette dernière, associée à une vie instable, favorisera l'accumulation de lait dans les seins. Parmi ces facteurs, le risque de cancer du sein est accru ; le mari joue donc un rôle primordial.
Autrefois, le taoïsme dans notre pays a développé des techniques secrètes comme la découpe du dragon rouge. Il s'agit d'une forme de kung-fu purificatrice.Cette technique utilise l'entraînement du Qi pour transformer le lait en essence et l'utiliser à son propre profit. Après la pratique, les seins diminuent complètement et les menstruations cessent naturellement. Ce kung-fu, qui consiste à transformer le flux menstruel en Qi puis le Qi en essence divine, est une technique secrète taoïste qui peut prévenir le cancer du sein chez les femmes pratiquant le taoïsme. Je sais comment la pratiquer, mais je ne peux pas la révéler, car elle n'est pas destinée à toutes les femmes ; seuls les moines la pratiquent. Le terme « dragon rouge » fait référence aux menstruations ; la manière de les faire cesser reste un secret.
